- Home
- Musée Hôtel
- Chambres d'Art
- La Bouche de la Vérité
- Le Nid
- Mystère pour la Lune
- Ligne d'Ombre
- Energie
- Sur une Barque en Papier Je M’Embarque
- La Chambre du Prophète
- Trinacre
- La Tour de Sigismond
- Rêves parmi les Signes
- La Chambre de la Peinture
- Terre et Feu
- La Chambre de la Mer Niée
- Porteurs d’Eau
- Lunaria - Quartier sans nom
- Hammam
- Double rêve
- La Chambre de l'Opra
- La Chambre de la Lumière
- Chambres Standard
- Services
- Histoire
- La Politica della Bellezza
- Chambres d'Art
- Fiumara d'Arte
- Expériences
- Press
- Réserver

- Home
-
Musée Hôtel
-
Chambres d'Art
- La Bouche de la Vérité
- Le Nid
- Mystère pour la Lune
- Ligne d'Ombre
- Energie
- Sur une Barque en Papier Je M’Embarque
- La Chambre du Prophète
- Trinacre
- La Tour de Sigismond
- Rêves parmi les Signes
- La Chambre de la Peinture
- Terre et Feu
- La Chambre de la Mer Niée
- Porteurs d’Eau
- Lunaria - Quartier sans nom
- Hammam
- Double rêve
- La Chambre de l'Opra
- La Chambre de la Lumière
- Chambres Standard
- Services
- Histoire
- La Politica della Bellezza
-
Chambres d'Art
- Fiumara d'Arte
- Expériences
- Press
- Réserver
Terre et Feu (1996)
L’explosion di fragments de terre cuite qui atteint les murs de la chambre signée par Luigi Mainolfi se recompose dans la vision de la grande baie vitrée rectangulaire qui, avec l’effet d’un défoncement de la prospective, ouvre le regard et l’esprit vers la mer et le ciel, créant ainsi une fusion fascinante entre les quatre éléments, air, eau, terre et feu. La chaise et le lit suspendus constituent le cœur de l’œuvre, et sont également des éléments fonctionnels et des points de vue privilégiés. La chaise-sculpture en fer, avec ses lignes essentielles, qui devient une torsion, est le moyen à travers lequel l’hôte libère son énergie et sa pensée et devient un être dans l’espace et dans le vide. Son aspect de trame métallique se fond avec les lignes interrompues de la terre cuite sur les murs pour former un réseau, un parcours labyrinthique qui évoque les passages, les arrêts et les brusques accélérations de l’existence. Le grand lit suspendu, léger, fluctue dans l’espace sans prise apparente sur les murs, qui apparaissent comme une mosaïque de morceaux de matière dont la tonalité varie selon les heures de la journée.
Une nuit pour se libérer de soi-même et trouver dans ce vide la plénitude de l’être.
VIDEO DISPONIBLE PROCHAINEMENT |
![]() |
![]() |